Aux échecs, le cavalier n’est pas deux fois plus rapide que le roi pour se déplacer vers une case donnée. Pour le démontrer, Christian Táfula Santos a eu recours à la célèbre suite de Fibonacci.
Aux échecs, le cavalier n’est pas deux fois plus rapide que le roi pour se déplacer vers une case donnée. Pour le démontrer, Christian Táfula Santos a eu recours à la célèbre suite de Fibonacci.